Ultime bafouille
Salma Hayek se retrouve non pas à moitié Libanaise, mais à moitié lesbienne.
Des lapsus qui ont toujours une connotation sexuelle (remember, la fellation de Dati). Mais qu’essaye de nous dire notre inconscient à ce moment-là ?
Et si vous êtes fan de jeux de mots plus pourris les uns que les autres, clic, clic, clic.
A table !
Génie du détournement et magie de l’utilisation de Photoshop, les politiques passent à table dans cette série sélectionnée aux petits oignons.
Une préférence ? Le Tarama Yade, plus proche de la varicelle que du Tarama rosé, me laisse encore sur ma faim…
Et aussi, l’art de se la péter, genre « mes potes sont des stars et viennent à mes soirées ». Là encore, Photoshop est l’ami de votre égo.
Epic politique
Le politique est, par définition, un personnage public sur le devant de le scène. A vos risques et périls, m’sieurs dames.
EPIC PHALLIQUE, d’abord, quand un peintre peint (logique jusque-là) le président des Etats-Unis dans le plus simple appareil, et avec une licorne.
L’imagination des artistes est parfois sans limite…
Enfin, soutien, et de taille, pour le candidat du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, en la personne de Homer Simpson et Cie, qui, décidément, ne comprend pas grand-chose à la politique française (heureusement, l’équipe du parti est là pour l’aiguiller).
Pas politique du tout, mais public quand même : Angélina Jolie. Ah, l’inoubliable Lara Croft réputée au moins autant pour ses lèvres généreuses, sa poitrine du même adjectif que ses cuisses interminables… qui finissent détournées sur le net, au détour d’un cliché un peu trop explicite. Et là, c’est le drame : le charme n’opère plus.
Chats, chiens et pandas
Le comité antiLOLcat étant en vacances d’hiver, je peux, en toute quiétude, vous fournir cette image sans crainte de représailles.
Limite, ils s’amuseraient pas plus que leur maître.
Et enfin, le retour ultime du panda, le come-back II, la revanche de la boule de poils tant attendu, où l’on apprend qu’il ne faut jamais dire « non » à un panda. JAMAIS.
Un dernier pour la route, qui confirme l’adage populaire : parle à mon cul, ma tête est sourde.
En apesanteur
Un peu de poésie dans ce monde de brutes, avec cette série de photos où la gravité n’a plus prise et les modèles libérés. Belle exploit de la photographe Mina Sarenac. Aérien.
C’est tout pour la semaine. Messieurs, soyez des hommes : luttez. (Les geeks, jouez, et les Twittos, votez)