Dignes réprésentants de la nouvelle brit-pop, les Londoniens ont pourtant pris leurs sources dans l’Americana et naviguent entre douceur et gravité, entre rage et repos, psychédélisme et hypnotisme. Le chant de Liam Palmer se fraie lui aussi un chemin entre la voix écorchée de James Skelly (The Coral) et la gravité d’un Leonard Cohen.
On était donc bien heureux de pouvoir les filmer pour deux morceaux à l’Espace B quelques heures avant leur concert.
Ici, The Colours in the Light May Obscure
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