On a retrouvé Scott Matthew dans sa loge du Point Ephémère, à Paris, où il allait jouer le soir même. Il s’est de suite exécuté. Muni d’un simple ukulélé, il nous a servi deux morceaux, Sweet Kiss In The Afterlife et Sinking, tirés de son dernier album. L’Australien se rate sur la première tentative et, consciencieusement, se reprend afin de rendre une copie parfaite de ses morceaux lumineux et pénétrants.
On l’a remercié puis on est parti. En dix minutes, c’était plié. Des fois, c’est simple de faire des sessions.